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Certaines complications de la chirurgie de l'obésité nécessitent une attention médicale immédiate et spécialisée. Beaucoup d'entre elles peuvent survenir pendant l'intervention de bypass ou sleeve gastrectomie ou peu de temps après l'intervention.

Problèmes anesthésiques

L'obésité est une affection clinique qui est aggravée par la présence d'autres affections telles que des problèmes cardiovasculaires et l'hypertension. C’est pourquoi, la gestion des voies respiratoires et le dosage des anesthésiques représentent un défi pour les spécialistes professionnels.

Problèmes respiratoires

La période d'hospitalisation pour une opération de l'obésité pourrait devenir complexe en présence d'un problème pulmonaire tel qu'une pneumonie, une atélectasie (effondrement du tissu pulmonaire), un écoulement liquidien dans les poumons, une insuffisance respiratoire ou un œdème pulmonaire.

Complications des plaies

Peu fréquent en raison de l'utilisation de la technique laparoscopique qui est peu invasive et précise, elles sont combattues avec des antibiotiques locaux.

Hernie des plaies

Une hernie chirurgicale est une protrusion de tissu à travers le site de l'incision. Improbable mais pas impossible, des hernies peuvent se produire dans les plaies, elles sont traitées chirurgicalement.

Thrombose et thromboembolie

Ils peuvent se former au cours de la chirurgie de bypass ou sleeve gastrique dans les veines des jambes, à partir de là ils peuvent se casser et atteindre les poumons (embolie pulmonaire). L'utilisation d'anticoagulants avant la chirurgie et la déambulation précoce réduisent ce risque.

Complications chirurgicales

Perforation de l'estomac ou de l'intestin, provoquant une péritonite ou un abcès, hémorragies internes, infections de plaies et obstructions. Ils sont inhabituels en raison de la nature non invasive de la laparoscopie et de la précision qu'elle permet. La familiarité, les compétences et l'expérience du chirurgien sont essentielles pour éviter ces complications.

Complications cardiovasculaires

Telles que : infarctus cardiaque, insuffisance cardiaque congestive, arythmies AVC.

Insuffisance rénale aiguë

L'insuffisance hépatique - l'hépatite (peut évoluer vers la cirrhose).

Risques psychosociaux

Sous forme d’anorexie nervosa, boulimie, dépression postopératoire, problèmes sociaux, etc. Ils ne sont pas produits par l'intervention chirurgicale elle-même, mais une mesure préventive est l'approche correcte de l'équipe de spécialistes médicaux avec le patient, en les informant sur le processus de l'intervention et son fonctionnement. Des attentes irréalistes ou de fausses croyances concernant les résultats peuvent activer certaines de ces complications.

Risque de mortalité

Pour conclure sur les risques de la chirurgie de l'obésité, il faut tenir compte du fait qu'il s'agit toujours d'une chirurgie majeure et, par conséquent, a une probabilité de mortalité calculée à 1% selon les paramètres internationaux. Lorsque cela se produit malheureusement, il est généralement dû à une embolie pulmonaire et à une défaillance multisystémique. La mortalité est plus élevée chez les patients de sexe masculin, les femmes de 55 ans et, dans une large mesure, dépend plus de la compétence et l'expérience de l'équipe chirurgicale et le chirurgien que sur la procédure.

Prendre conscience des aliments que vous mangez ; Le choix entre être une personne mince ou en surpoids est en vous.

Le Mexique est un chef de file dans l'obésité. Les chiffres officiels le confirment. Selon le secrétariat fédéral à la santé, le problème du surpoids et de l'obésité a triplé au cours des 30 dernières années.

Actuellement, un Mexicain sur trois vit avec un excès de poids. Cette maladie cause jusqu'à 20% des maladies dans les pays membres de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE).

Pour cette raison, la loi anti - obésité a été approuvée, qui vise à intégrer le système national de santé pour guider la population en ce qui concerne l'importance de la nutrition correcte et sa relation avec la santé. Cette loi vise à montrer les « dangers » des troubles alimentaires et de l'utilisation de laxatifs.

Lire les étiquettes

En ce qui concerne l'étiquetage, les produits alimentaires doivent contenir les données nutritionnelles, caloriques, acides gras saturés, acides gras trans, cholestérol, teneur énergétique, sodium, glucides, fibres alimentaires, sucres et édulcorants, en précisant le type de ingrédients qui ont été utilisés dans chaque type de présentation du produit.

De cette façon, le public peut vraiment savoir ce qu'il consomme. Vous apprendrez à prendre conscience des aliments que vous mangez ; Le choix d’être une personne en bonne santé et mince dépend de vos habitudes alimentaires et votre mode de vie.

Cela a toujours été le cas, seulement maintenant que grâce aux diverses lois et initiatives qui ont été autorisées, les entreprises doivent créer des produits de meilleure qualité, sans excès calorique, car l'obésité et la pandémie de surpoids dépassent le Mexique. 

Un excès de poids n’est pas pour certains une maladie. Il s’agit simplement d’un signe visible de la « malbouffe », d’une absence de discipline, d’une vie peu organisée. Il suffit simplement dans ces cas de remettre un peu d’ordre dans sa vie, de revoir sa façon de manger pour remettre les pendules à l’heure. Et pourtant, des psychologues nous expliquent que tout n’est pas si facile. L’hyperphagie comme l’anorexie ont des causes plus profondes. Dès lors, on se demande si l’on peut être obèse simplement tout en menant une vie normale ?

L’obèse en bonne santé

Une personne obèse en bonne santé, en anglais Fat but fit, est définie comme quelqu’un présentant un IMC > 30 mais qui ne souffre d’aucune comorbidité associée à l’obésité. C’est-à-dire, les 3 troubles du métabolisme qui sont le plus souvent associés à l’obésité. Néanmoins, le risque de développer une maladie coronarienne est plus élevé chez cette personne que chez les personnes ayant un poids normal.

L’obésité est une maladie

L’obésité en soi est une maladie. Une maladie mortelle même comme nous le dit l’OMS. Selon cette institution, l’obésité est dans le Top 5 des causes de la mortalité dans notre siècle. Comment donc être malade sans être malade ? Si l’obésité n’était pas une maladie, qu’est-ce qui justifierait les médicaments et même la chirurgie visant à traiter l'obésité morbide ?

Être obèse n’est donc pas seulement être « gros ». Bien que l’obésité se caractérise par une accumulation excessive de graisse dans le corps, celle-ci n’est pas sans danger pour la santé. De plus en plus de chercheurs sont d’accord pour dire que la complaisance à l’égard de ce problème, encourage les obèses à ne pas fournir d’efforts pour s’en sortir. Il n’est pas question non plus de tomber dans la « grossophobie ».

Les complications de l’obésité

Sans cet effort « collectif » et individuel pour lutter contre la surcharge pondérale, on laissera nos proches, nos amis, nos voisins sombrer dans une situation pire que l’excès de poids. Même si certains scientifiques de l’Université de Helsinki affirment qu’il est possible d’avoir une bonne santé quand on souffre d’obésité modérée, on n’est jamais à l’abri des risques liés à l’obésité. Diabète, hypercholestérolémie, hypertension artérielle, risques d’AVC, sont autant de complications de l’obésité.